La jeune panthère de l'Amour, née il y a quelques semaines au zoo du Parc de la Tête d'Or, cherche un nom.
Votez pour... Ecolyon sur le site de la Ville de Lyon.
La jeune panthère de l'Amour, née il y a quelques semaines au zoo du Parc de la Tête d'Or, cherche un nom.
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Traverser à pied l'avenue Barthélémy-thimonier, qui sépare les parcs de Champvert et de la Crèche, est périlleux pour les nombreux écureuils roux du quartier. Une idée émerge alors, celle de leur permettre de franchir l'obstacle routier par la voie des airs qu'ils empruntent naturellement. Une passerelle en corde est installée pour relier les cîmes : l' écuroduc est né.
Voici encore un bien joli mur peint de la Cité de la Création et des jeunes "pousses" estudiantines d'EcohlCité.
A admirer sur les mur de l'école Jean Macé/Marc Bloch, au 87 rue Chevreul (69007).
La fresque fête les 100 ans de la LPO (Ligue pour la protection des oiseaux) et a été inaugurée jeudi 12 septembre 2013.
Depuis le 30 juillet 2013, l'installation du pont Raymond-Barre reliant la Confluence au quartier de Gerland est attendue.
Elle n'a pas pu être effectuée à plusieurs reprises pour des raisons techniques. L'une des causes était la baisse du niveau du Rhône de 20 cm qui empêchait le départ de la barge transportant le pont vers le lieu de son installation.
Ce n'était que partie remise. Hier soir, la barge a quitté le port Edouard Herriot avec son chargement et l'installation du pont est désormais en cours en ce mardi 3 septembre.
On a un autre lanceur d'alerte en ce moment, certes moins médiatique que l'ex-agent américain de la NSA : la société "Far Ouest", spécialisée dans la lutte contre un "nuisible". Quelle est donc le ravageur en question? La taupe !
A lire la brève, ce fléau pour les cultures a envahi Rhône-Alpes, particulièrement la Savoie, donc méfiance et catastrophe ! En même temps, c'est celui qui est payé pour l'éradiquer et son réseau de veilleurs qui le disent...
Hum, Snowden est un nuisible, pour les USA, non ?!
Ateliers pour savoir réaliser des bombes, attaques se déroulant de nuit comme de jours, conquête d’un champ de bataille constitué par les rues de Lyon… toutes ces actions pourraient paraître inquiétantes si l’armée en question n’était pas celle de la « Guérilla gardening ». Cette guérilla végétale, dont l’antenne lyonnaise fleurit depuis 2 ans, prône le respect de l’environnement et l’invasion de la verdure dans notre centre-ville grâce à la multiplication des initiatives individuelles. Son plan de bataille : nous pousser à végétaliser nos balcons, taguer les murs avec de la mousse, miner les espaces, friches et brèches avec des graines…
Dans cet objectif, le mouvement sensibilise les « Tistou les pouces verts » qui ont un côté rebelle pour en faire une armée de la désobéissance végétale. L’enjeu : libérer les plantes et les fleurs des geôles que sont les jardins et les parcs officiels pour qu’elles prennent racines dans tout l’espace public urbain. Une façon écolo de semer le désordre !
Si l’emploi du vocabulaire guerrier participe de la provocation voulue par le mouvement, ce dernier se positionne en fait entre le land art et le street art. Il se prend même un dessein poétique : truffer les villes de belles plantes [ce n’était pas déjà le cas ?], mettre le vert à l’honneur là où on ne l’y attend pas, faire émerger des vergers en toute liberté... pour émerveiller le citadin au quotidien.
Alors si vous vous sentez l’âme d’un guerillero du terreau, prenez vos grenades juteuses, votre salade de roquette… et venez étoffer les rangs de cette pacifique armée écocitoyenne.
Fin du feuilleton animalier du parc de la Tête d'Or : les éléphantes éviteront l'euthanasie et passeront leur retraite au soleil, sur une propriété de la famille de Monaco.
Comme les mouettes, le moustique-tigre s'est bien implanté dans la région et été repéré depuis 2 ans dans le Grand Lyon. Décidément, Rhône-Alpes est un bon plan... d'eau
Présents au début du printemps sous forme d'oeufs, les moustiques vont pulluler dès leur éclosion fin avril.
Gare aux "cloches" qui ne prendront pas leurs précautions pour se protéger
A Villeurbanne, les habitants sont sensibilisés aux gestes qui peuvent éviter sa prolifération : ne pas laisser d'eau stagnante, même dans une coupelle, dans son jardin par exemple.
La mouette rieuse n’est pas qu’une plagiste criarde aimant se tremper les palmes au bord de la mer, elle est également une citadine qui se la coule douce à Lyon, ville bien dotée en plans d’eau.
Vous ne pouvez manquer les plumes blanches de ces volatiles qui séjournent sur les berges lyonnaises. L’oiseau apprécie en effet les lieux d’implantation humaine arrosés où elle trouve facilement sa nourriture (nos déchets par exemple).
Rhône-Alpes hébergerait ainsi 9000 couples de mouettes rieuses (soit 25% de la population qui vole en France), une population qui croît progressivement. Et si leur volume semble important, c’est aussi qu’aux mouettes casanières s’ajoutent ses pairs qui viennent de toute l’Europe et poursuivent leur migration après la période de nidification.